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Ici où la mer scintille Et le vent souffle fort Sur une vieille terrasse Devant le Golfe de Surriento Un homme enlace une fille Après elle eut pleuré Puis il s'éclaircit la voix Et recommence le chant Refrain: Je t'aime tant Mais tant, tant, tu sais C'est un lien désormais Qui libère le sang dans les veines, tu sais Il vit les lumières au milieu de la mer Il pensa aux nuits en Amérique Mais elles ne sont que les lampes des pêcheurs Et le sillage blanc d'une hélice Il ressentit la douleur dans la musique Il se leva du piano-forte Mais lorsqu'il vit la lune émerger d'un nuage Même la mort lui sembla plus doux Il regarda la fille dans les yeux Ces yeux verts comme la mer Puis à l'improviste une larme surgit Et il crut qu'il se noyait {Refrain} La puissance de l'opéra Où chaque drame est une supercherie Où avec un peu de maquillage et l'imitation Tu peux devenir un autre Mais deux yeux qui te regardent Si près et véritable Te font oublier les paroles Emmêlent les pensées Ainsi tout devient petit Même les nuits en Amérique Tu te tournes et vois ta vie Comme le sillage d'une hélice Mais c'est la vie qui s'achève Mais il n'y a pas pensé tant alors Au contraire il se sentait déjà heureux Et recommença son chant {Refrain} x 2 |
domenica 4 marzo 2012
Caruso - il testo
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